Dialogue interreligieux

du grec katholikos : qui signifie totalité et universalité
Ensemble des fidèles, des institutions, des dogmes de l’Église catholique romaine. Les chrétiens catholiques reconnaissent l’autorité spirituelle et juridictionnelle du pape, évêque de Rome, et successeur de Saint Pierre.

Le protestantisme désigne ce Mouvement de Réformes de l’Eglise romaine qui s’est manifesté au XVIème siècle en divers pays d’Europe. Différents théologiens appelés Réformateurs (Luther en Allemagne, Calvin en France, Zwingli en Suisse, Bucer en Alsace) ont contribué à la naissance des Eglises protestantes, séparées de l’Eglise Catholique, de ses dogmes et de son organisation hiérarchique. Les deux traditions luthériennes et réformées, distinctes, se sont aujourd’hui rapprochées et unies en France : Eglise protestante unie de France et UEPAL en Alsace. Ces églises protestantes partagent essentiellement trois convictions :Nous vivons d’une confiance reçue et partagée.
La lecture de la Bible nous met debout.
Nous avons besoin les uns des autres.
Ces convictions sont la traduction contemporaine de celles qui ont inspiré les réformateurs du XVIème siècle et qui se disaient ainsi : Sola fide (la foi seule), Sola scriptura (l’écriture seule), et une formule : sacerdoce universel des croyants (égalité et responsabilité commune entre pasteurs et laïcs).

Texte rédigé par le pasteur Jean-Marc Dupeux

Les termes « judaïsme » et « juif » renvoient à « Juda », nom qui désigne le quatrième fils du patriarche Jacob, l’une des douze tribus d’Israël dans la Bible et le royaume de Juda, appelé plus tard « Judée » par l’occupant romain.Car le texte fondateur du judaïsme, auquel se réfère aussi le christianisme qui en est issu, est la Bible juive, composée de la Tora ou Pentateuque, des Prophètes et des Hagiographes. La Bible est à la fois le récit des origines de l’humanité et des hébreux, ancêtres des Juifs, et le condensé de la loi.La Tora, donnée selon la Tradition au Mont Sinaï, constitue le point de départ et le pré-texte du commentaire ininterrompu qui s’est tissé autour d’elle au fil du temps, en une réflexion et un questionnement infinis. Ce commentaire, d’abord oral, puis mis par écrit entre le 2ème et le 6ème siècles, est déposé dans le Talmud.Les fondements existentiels du judaïsme sont constitués par deux axes, autour desquels s’organise la vie juive concrète : l’étude, obligation religieuse de chaque juif, et la pratique des mitsvot ou commandements. La première est le lieu du questionnement et de la liberté propre à la pensée, la seconde assure l’identité individuelle et collective. Les deux dimensions sont nécessaires et complémentaires. Voici quelques thèmes récurrents de la vie et de la pensée juives : l’obligation de la libération complétée par l’acceptation de la loi, la culture de la différence, conçue comme la condition de la rencontre et du dialogue, la fidélité ou l’inscription dans une transmission plutôt que la foi, la culture de la question plutôt que la recherche de la certitude.

Texte rédigé par Janine Elkouby

L’orthodoxie (étymologiquement « Juste Glorification ») est le nom qu’ont conservé les églises chrétiennes situées dans la partie orientale du bassin méditerranéen et dans les territoires slaves après leur séparation d’avec l’Eglise de Rome lors du schisme de 1054.Fidèle à la tradition apostolique, l’Orthodoxie est appelée l’Eglise des 7 Conciles (tenus entre le 4ème et le 9ème siècle pour préciser le contours de la foi chrétienne). L’Eglise Orthodoxe privilégie une approche et une connaissance de Dieu « expérimentale » (avant d’être intellectuelle) à travers la vie liturgique, les sacrements, la prière, la fréquentation de l’Ecriture Sainte, la beauté (icônes, chants…) et une dimension ascétique. Le but de la vie chrétienne étant l’union avec Dieu, la déification.Organisées sur une base territoriale, les principales églises orthodoxes sont les Patriarcats de Moscou, de Roumanie, d’Alexandrie (pour l’Afrique), d’Antioche (Moyen-Orient), de Jérusalem, de Serbie et l’Eglise de Grèce.Les révolutions et mouvements de population qu’a connu le 20ème siècle a conduit à la constitution d’une diaspora orthodoxe dans le monde entier, en particulier en Europe occidentale et en Amérique du Nord.

Texte rédigé par le Père Daniel Escleine

L’Islam est une des trois religions monothéistes, arrivant dans le temps en troisième position, après le judaïsme et le christianisme. Au 7ème siècle après Jésus-Christ, le prophète de l’Islam, Mohamed (que la paix et la bénédiction soient sur lui) a reçu la révélation divine par le biais de l’ange Gabriel. Cette révélation qui a duré 23 ans, porte le nom de Coran, livre saint des musulmans, qui constitue la première source fondamentale de l’Islam. Trois autres sources la complètent : la Sounna, constituée par les paroles et les faits du Prophète, le Consensus des théologiens musulmans qualifiés et enfin, récemment, l’Analogie, raisonnement utilisé par les savants musulmans pour émettre des avis juridiques religieux propres à résoudre les problèmes de la vie courante non prévus par les textes fondamentaux. Cette dernière source a pour but de faciliter la pratique religieuse aux citoyens de confession musulmane et de les aider à trouver des solutions alternatives pour mieux s’adapter à l’évolution de notre société.Du point de vue de la croyance, on peut citer les six piliers de la foi : croire en Dieu, aux anges, aux livres célestes, aux prophètes envoyés par Dieu, au jugement dernier ainsi qu’au destin.D’un point de vue des pratiques rituelles, on peut les résumer en cinq piliers : 1) le témoignage de la Foi, 2) les cinq prières quotidiennes, 3) l’aumône (dons aux nécessiteux), 4) le jeûne du mois du Ramadan, 5) le pèlerinage à la Mecque (à réaliser au moins une fois lorsqu’on a les moyens nécessaires pour l’accomplir).

Texte rédigé par Driss Ayachour

Le bouddhisme est né en Inde, il y a 2600 ans suite à l’éveil de Siddharta Gautama qui sera désormais appelé le Bouddha (l’Eveillé). Le Bouddha ne se présente pas comme un prophète ni l’émissaire d’un message divin. Son enseignement (le Dharma) s’appuie sur sa compréhension de l’esprit et des phénomènes issue de son expérience. Il affirme qu’il est possible non seulement de se libérer des contrariété et des tourments de l’existence (Dukkha) mais également de réaliser le plein Eveil (Nirvana) accomplissement ultime de l’être. Pour cela, il existe une voie, un chemin permettant de transformer la confusion en sagesse, source de bienfaits illimités, par une compréhension correcte associée à une conduite juste.Bien que s’appuyant sur un enseignement commun, le bouddhisme, dans son expansion, prend de nombreuses formes en s’adaptant aux différents langages et cultures des lieux où il s’implante. On distingue néanmoins deux courants principaux : le Shravakayana et le Mahayana. Dans le premier, l’Eveil est vu comme l’objectif essentiel de la Voie, dans le second, l’Eveil est considéré comme une base sur laquelle s’accomplit une activité altruiste illimitée.

Texte rédigé par le moine Orgyen

L’hindouisme est l’une des plus anciennes religions du monde encore pratiquées qui n’a ni fondateur ni institution cléricale organisée uniformément (les brâhmanes peuvent être de différentes écoles). En 1966, la Cour Suprême de l’Inde a défini le cadre de la foi hindoue comme suit :

1. l’acceptation respectueuse des Vedas en tant que plus Haute Autorité sur les sujets religieux et philosophiques ;
2. l’esprit de tolérance et de bonne volonté pour comprendre et apprécier le point de vue de l’adversaire ;
3. l’acceptation des six systèmes de philosophie hindoue et d’un rythme du monde qui connaît des périodes de création, de conservation et de destruction, périodes, ou yuga, se succédant sans fin ;
4. l’acceptation de la croyance dans la renaissance et la préexistence des êtres ;
5. la reconnaissance du fait que les moyens ou les manières d’accéder au salut (moksha) sont multiples ;
6. le fait que, malgré le nombre des divinités à adorer, on peut être hindou et ne pas croire qu’il faille adorer des idoles ;
7. à la différence d’autres religions ou croyances, la religion hindoue n’est pas liée à un ensemble défini de concepts philosophiques.

Texte rédigé par Luxmee Quirin

La Foi bahá’ie est la plus jeune des religions indépendantes de l’humanité. Son fondateur s’appelle Bahá’u’lláh et il est pour les bahá’is le plus récent des messagers de Dieu dans une lignée qui remonte à la nuit des temps, lignée dans laquelle se sont inscrits de grands personnages comme Abraham, Moïse, Jésus, Mohamed, mais aussi Krishna et le Bouddha et certainement bien d’autres éducateurs dont nous avons perdu la trace.

Au cœur du message de Bahá’u’lláh, il y a la conviction que l’humanité ne forme qu’une seule race et que le moment est venu pour elle de s’unir en une société mondiale. Bahá’u’lláh affirme que Dieu a mis en marche des forces historiques qui vont renverser les barrières traditionnelles de races, de classes, de croyances et de nationalités, forces qui donneront naissance, en temps voulu, à une civilisation universelle. Le principal défi pour les peuples de la terre est d’accepter leur unité et de favoriser la marche vers l’unification.

Un des objectifs de la Foi bahá’ie est de faciliter cette évolution. Forte de plusieurs millions de membres représentant la plupart des nations, des races et des cultures de la planète, cette communauté mondiale s’efforce de donner corps aux enseignements de Bahá’u’lláh. Son expérience ne peut être qu’une source d’encouragements pour tous ceux qui partagent sa vision, celle d’une humanité formant une famille mondiale habitant le même foyer : la terre.

« Le remède souverain ordonné par le Seigneur, le moyen le plus puissant pour la guérison du monde entier, c’est l’union de tous ses peuples en une cause universelle, une même foi ». Bahá’u’lláh

Texte rédigé par Hervé Milewski

Un groupe informel, « Juifs-Chrétiens pour se mieux connaître », s’est constitué en l’an 2000 pour permettre aux juifs et aux chrétiens de Colmar de se rencontrer. Ce travail a abouti en 2008 à l’affiliation de ce groupe en tant que groupe local à l’Amitié Judéo-Chrétienne de France.Ainsi que le disent nos statuts, notre association cherche à faire en sorte qu’entre judaïsme et christianisme la connaissance, la compréhension, le respect et l’amitié se substituent aux malentendus séculaires et aux traditions d’hostilité.

La plupart de nos activités sont localisées à Colmar. Les adhérents sont aussi pour l’essentiel de Colmar et des environs.

L’AJC Colmar travaille en relation avec les autres groupes du dialogue judéo-chrétien d’Alsace.

Activités : cycle annuel de conférences, deux groupes de lectures, une lettre-circulaire trimestrielle d’information et de formation et une session biblique.

Siège de l’AJC Colmar : 8 rue du Parc 68124 Logelbach

Président : Claude mouchet – 03 89 27 27 11 –

Site Internet : AJC Colmar

Association de droit local fondée en 1990 dont l’objectif est de favoriser le rapprochement entre juifs et chrétiens.

Implantation : Strasbourg et environs, mais liens avec les autres associations alsaciennes ayant les mêmes objectifs.

Activités principales : conférences, journées d’étude, cours d’hébreu et de découverte du judaïsme alsacien, diffusion d’informations sur le judaïsme, les relations entre juifs et chrétiens, la vie juive (fêtes annuelles, évènements touchant la communauté juive d’Alsace), envoi de vœux à la communauté juive, actions de sensibilisation des milieux chrétiens, etc.

Liens avec les institutions : liens avec la communauté juive de Strasbourg, liens avec les Eglises d’Alsace, les paroisses de Strasbourg et environs. Participation aux activités de la commission diocésaine pour les relations avec le judaïsme, et contacts avec la commission protestante correspondante. Liens avec divers responsables du dialogue interreligieux.

Responsables :

Présidente : Jacqueline Cuche

Vice-Président : François-Xavier Lery

Association judéo-chrétienne mulhousienne fondée en 1982, elle a pour but de promouvoir toute activité culturelle, artistique ou pédagogique favorisant la connaissance des spiritualités diverses issues de la Bible et la rencontre entre ceux qui se réfèrent à son autorité.

Activités : conférences, cours d’hébreu biblique, voyage, sortie annuelle.

Contact : Bertrand Schlund – – 06 87 71 28 88

Site Internet

Association de fait créée en 2007.

Constitution du groupe : Douze membres de communautés catholique, juive, musulmane et protestante de Neudorf. En relation avec une centaine d’ « amis de la Fraternité »

Spécificités : Ensemble, ils désirent contribuer à l’estime et au respect entre citoyens de cultures et religions différentes sur le quartier de Neudorf et y favoriser le vivre-ensemble.

Activités principales : cycle de conférences annuel, visites, rencontres avec des membres des communautés juives, chrétiennes et musulmanes. Depuis 2014, la Fraternité propose un kaffeekränzel interreligieux, et en 2019, la fête de l’Epiphanie, « 1^ère rencontre interreligieuse de l’histoire », a permis une rencontre conviviale entre membres de la Fraternité, acteurs de l’interreligieux, membres de communautés et habitants de Neudorf. Dans le cadre du Mois de l’Autre, la Fraternité a pris part à des rencontres organisées dans des établissements scolaires de Neudorf.

Liens avec les institutions : La Fraternité d’Abraham de Neudorf entretient des relations d’amitié avec les paroisses catholique et protestante de Neudorf qui soutiennent son action. Elle est proche d’autres associations interreligieuses et particulièrement du Jardin de l’Oasis de la Meinau. Elle participe chaque année au Rendez-vous avec les religions favorisé par la Ville de Strasbourg et la Région à Strasbourg et à la Marche de la Fraternité à la Meinau. Elle invite conseillers départementaux (canton 1) et conseillers municipaux lors de chaque rencontre proposée.

Contacts : Coordinateur : Philippe Le Vallois 06 31 39 61 83

Francis Cerf : 06 07 74 46 44 – Abderrahmane Boussouf : 06 25 28 19 65

Mail :

Statut : association dont le conseil d’administration est composé de représentants des paroisses catholique, évangélique et protestante, de la communauté musulmane, ainsi que de personnes sans confession habitant Barr

Implantation : Barr, 67140

Constitution du groupe : en 2011 et première manifestation publique en avril 2012, marche interreligieuse réunissant près de 400 personnes faisant étape dans les lieux de culte de Barr

Activités principales et spécificités :

• Rencontres trimestrielles (10-15 personnes)
• Participation aux Rendez-vous avec les Religions
• Organisation de conférences, spectacles, réunions à thème, visites, expositions
• Accueil de 2 familles syriennes en lien avec la Mairie de Barr

Liens avec les institutions (administratives, associatives, religieuses,..) :

Ville de Barr, Région, Sacrées Journées

Projets :

2020/2021 : accueil de l’exposition sur Adélaïde Hautval, rencontre à thème : la place de la prière dans nos pratiques religieuses

Personne responsable : Sophie Foisset (présidente de l’association, 06 82 29 65 98)

Crée en 2007 afin de promouvoir un meilleur vivre ensemble à travers la connaissance des plantes évoquées dans les religions du Livre , le jardin se compose d’un sentier chronologique pour découvrir les histoires relatées dans les textes sacrés.

Outil de culture et de formation pour divers groupes, ce jardin fait prendre conscience des liens entre l’ici et l’ailleurs, le lointain et le proche.Ces deux notions ne s’excluent pas mais se fécondent mutuellement et nous font prendre conscience que les racines de nos identités sont multiples et parfois surprenantes loin du simplisme réducteur que l’actualité met souvent en avant.

Chaque année, un thème différent permet de faire vivre le jardin lors de soirées estivales ou lors des « Rendez-vous aux jardins » ou des simples visites guidées sur demande.

Deux brochures ont été éditées :« Les plantes comestibles dans les religions du Livre » et « Déluges, déluge »

Contact :

Anny Bour  : 03 88 08 21 09 ou

Laurent Colombo : 06 82 33 78 37

 www.lejardindulivre.fr

Implantation: Quartier de la Meinau – 2, avenue de Normandie 67100 Strasbourg- Accès TRAM A et E arrêt Emile Mathis – bus 27,40,57,67 arrêt place de l’Ile de France –

Activités principales : Fruit de la réflexion et du partage des communautés juive, chrétienne et musulmane de la Meinau, le Jardin interreligieux OASIS de la RENCONTRE a vu le jour pour favoriser et développer la rencontre et le dialogue entre les religions et les cultures. C’est un Jardin pas comme les autres! Ouvert à tous, vous pourrez vous y reposer, mais aussi découvrir les religions à travers les six étapes imaginées pour lui ou vous laisser séduire par les arbres et plantes et leur symbolique.

Visites pédagogiques, matinées de jardinage, soirées conviviales à thèmes, kiosque à livres vous invitent à participer tout au long de l’année. Venez, nous vous attendons!

Liens avec les institutions: Eurométropole Strasbourg/ Région Grand Est / Conseil Général

Personne(s) responsable(s) / contact(s)/ lien Internet: Claude Heckel 06 71 72 75 50 –

Site Internet

Présentation : Le Pont est un groupe interreligieux se proposant de faire se rencontrer des croyants de toutes les religions présentes à Strasbourg. Ce groupe est né en 1998 suite à des tables rondes organisées dans des établissements scolaires de Strasbourg. A partir de 2000, il a évolué vers sa forme actuelle.

Composition du groupe : il réunit des croyants des différentes religions : Chrétiens, Juifs, Musulmans, Alévis, Hindous, Bouddhistes et Bahaïes

Implantation : Eurométropole de Strasbourg

Activités : organisation de tables rondes, de sorties destinées à rencontrer d’autres traditions, à découvrir des lieux de cultes, des sites interreligieux  …. Participation active à l’organisation du rendez-vous avec les religions de Strasbourg

Liens avec les institutions (administratives, associatives, religieuses,..) : les participants du groupe du Pont sont impliqués par diverses responsabilités dans leurs confessions respectives, mais ne sont pas mandatés par leur culte.

Responsables : Rudi POPP, Président, Tél : 06 50 84 21 29  et Nicole BENOIT, Secrétaire,  Tél : 03 88 36 86 51

Site internet

Commission dépendant du conseil commun de l’Eglise Protestante d’Alsace et de Lorraine (UEPAL)

Implantation : Strasbourg et Alsace

Constitution du groupe : En 2005, à l’occasion de la célébration du 60ème anniversaire de la libération du camp d’extermination d’Auschwitz, les deux Eglises protestantes d’Alsace et de Lorraine ont décidé de mettre en place une commission spécifique chargée du dialogue avec le judaïsme.

Activités principales et spécificités : Réunions informatives, informations de type culturel, débat sur des textes, rencontres avec des personnalités du judaïsme. Rédaction d’une charte.

Liens avec les institutions (administratives, associatives, religieuses…) : Commission dépendant directement du conseil commun de l’UEPAL

Projets : Entretien de liens avec les communautés juives d’Alsace. Réflexions au sujet d’un dialogue protestantisme-judaïsme. Débats sur des questions d’actualité, des faits relatifs au dialogue interreligieux (protestants-juifs).

Renseignements complémentaires : Commission d’une dizaine de membres. 3  réunions par an.

Personne responsable : Président de la commission : Thierry Legrand

Courriel :

L’UEPAL a créé en 2012 La Commission protestante de Dialogue avec les Musulmans (CPDM)pour soutenir l’ouverture protestante à la religion  musulmane.

Cette commission présidée par Mme Danielle Mathieu-Baranoff et animée par le pasteur Jean-Marc Dupeux affirme dans son intitulé les perspectives qui sont les siennes :

1. « Le dialogue » qui suppose la rencontre et l’engagement mutuel
2. « Les » musulmans rencontrés le sont dans leur spécificité religieuse musulmane mais aussi leur diversité réelle en Alsace Moselle.

Aujourd’hui la Commission soutient et informe les paroisses et les groupes qui s‘engagent dans ce dialogue.

1. Elle s’efforce de découvrir la réalité musulmane par un discours et une action que l’on partage AVEC des prochains musulmans, en évitant le discours SUR les musulmans en terme généraux.
2. Elle soutient les initiatives communes et en particulier le cheminement des couples chrétiens/ musulmans, de concert avec son homologue catholique.
3. Elle souhaite, après des temps de découverte et d’apprivoisements mutuels, encourager des rencontres, où les uns et les autres relisent leurs textes fondateurs ensemble, en acceptant le regard critique. (Lectures bibliques et coraniques comparées et rapprochées.

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Dialogue-avec-les-musulmans/

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